<strong>Seconde main logicielle et secteur public : une équation gagnante</strong>

Seconde main logicielle et secteur public : une équation gagnante

La transformation numérique n’est incontestablement pas la seule préoccupation des entreprises. Dans ce contexte, force est de constater que les collectivités et organismes publics doivent également repenser leur gouvernance informatique pour faire évoluer leurs processus, lancer de nouveaux services et proposer aux citoyens une offre numérique adaptée aux nouveaux usages. C’est précisément dans ce contexte que les administrations doivent pouvoir s’appuyer sur des technologies de pointe et faire évoluer en continu la composition de leur parc IT, notamment sur la dimension logicielle.

Accéder à des solutions performantes

Bien évidemment, l’un des premiers points est de pouvoir travailler avec des outils et solutions qui permettent à la fois de gagner en confort d’utilisation et de mieux collaborer au quotidien en interne ou avec les administrés. Cela passe donc par l’usage de centaines, voire milliers de licences pour équiper les équipes. De plus, le cycle d’innovation des éditeurs amène les administrations à faire évoluer leurs parcs en continu.

Prendre en compte l’approche métier des administrations

Un autre point est à prendre en considération : la souveraineté. En effet, pour des raisons réglementaires, de nouvelles directives amènent les structures publiques à limiter, voire ne plus utiliser de solutions Cloud américaines (notamment en matière de bureautique). En ce sens, il est important de trouver des alternatives à ce sujet.

Le respect des aspects budgétaires

Là encore, les administrations doivent conjuguer deux points clés : s’équiper d’outils de nouvelle génération et contenir leurs budgets de fonctionnement. Il s’agit d’une alchimie complexe qui nécessite de bien cartographier ses besoins et de trouver des réponses opérationnelles qui respectent la contrainte économique à laquelle le secteur public doit se conformer.

Le recours à l’approche de seconde main

Les éléments évoqués précédemment induisent donc de s’orienter vers de nouvelles approches. En ce sens, le marché de la seconde main logicielle peut représenter une bonne alternative à plusieurs titres : la composante financière liée à l’achat de licences à prix compétitif et le fait de ne pas avoir à migrer toutes ses solutions sur le Cloud. Cela peut alors permettre de diviser par dix le coût d’utilisation des logiciels utilisés, ce qui représente une économie significative.

Les structures publiques doivent donc repenser leur approche en matière d’équipement IT. Désormais, grâce à la logique de réutilisation IT et la structuration de l’ensemble de la filière, il est possible de répondre efficacement aux besoins de performance tout en contenant les coûts. Cette approche devrait se standardiser rapidement auprès des différents types de structures publiques.

 Par Habibou M’BAYE CEO Softcorner

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